Les conclusions du Congrès des Amis de la Paix qui se tint en août 1849 à Paris furent honorées dans la presse. Comme ils le souhaitaient, ses représentants furent reçus par le Président de la Deuxième République depuis le 20 décembre 1848 : Charles Louis-Napoléon Bonaparte.
Son mandat était de quatre ans et il n’était pas rééligible. Victor Hugo avait donc soutenu sa candidature à l’élection présidentielle d’autant que Lamartine, l’autre gand poète du moment, était candidat lui aussi.
Hugo comptait, quant à lui, se présenter à la fin du mandat, en 1852. D’où ses engagements ostensiblement républicains, populaires (on dirait aujourd’hui « populistes ») et pacifistes.
Le Prince-Président fut plus rapide. Continuer la lecture de « Les Amis de la Paix 6 – Résolutions finales »