
[Ma déclaration lors de ses obsèques, le 16 juillet 2013]
Il y a d’abord le bel homme, le bon géant aux larges épaules, le Laurent que j’ai découvert il y a 45 ans ‐ nous avions à peu près 22 ans l’un et l’autre ‐ « Laurent » puisque c’est ainsi qu’il s’était présenté et que je l’ai toujours appelé : Michel Laurent Dioptaz.
D’autres l’ont connu différemment.
Je vous parlerai, moi, de Laurent dans le souffle de la parole puisque je suis un homme de langage et qu’il était un bavard intarissable (moi aussi), ce Laurent que j’ai aimé, vif‐esprit, très inventif et toujours aimable.